Faire manger des légumes aux enfants (sans Drame) !
Faire manger des légumes aux enfants (sans drame)
Faire manger des légumes aux enfants comme des tomates, des brocolis, des carottes peut vite tourner au bras de fer à table. On insiste, on négocie, parfois on menace… et pourtant, rien n’y fait ! Vous aussi, vous en êtes là ? Pas de panique, il y a des astuces malines pour leur faire aimer les légumes sans (trop) de drames.
Contexte de la problématique
À partir de l’âge de 10 ans, nos petits gourmands deviennent de véritables champions pour éviter les légumes. Brocolis, haricots verts, courgettes ? Beurk, hors de question ! Ce rejet peut vite transformer les repas en moments de tension. Mais on ne va pas se laisser faire, pas vrai ? Avec un peu de stratégie, il y a moyen de déjouer leurs plans anti-légumes.
Anecdote personnelle
Chez moi, faire manger des légumes à mes enfants a été un vrai parcours du combattant. Pendant des mois, j’ai tout essayé, sans succès. Jusqu’au jour où j’ai osé une expérience audacieuse : cacher du chou-fleur dans un gâteau au chocolat ! Oui, oui, vous avez bien lu. Et devinez quoi ? Ils ont adoré ! Je leur ai révélé la présence du chou-fleur après qu’ils aient tout fini, et depuis, j’ai appris à être encore plus maline pour leur en faire manger.
Astuce maligne
Ma petite astuce ? Associer les légumes avec des aliments qu’ils aiment déjà ou les transformer en plat qu’ils adorent comme une pizza ! Par exemple, les transformer en frites. Chez nous, les frites de carottes non grasses ont remporté un franc succès. Un peu d’huile d’olive, une pincée de paprika ou de curry, et hop, au four ! Les enfants se régalent sans se rendre compte qu’ils mangent des légumes. Retrouvez la recette complète sur le blog ici.
Et vous, quelles sont vos astuces pour faire manger des légumes à vos enfants ? Avez-vous testé la recette ou adapté l’idée avec d’autres légumes ? Partagez vos expériences en commentaire, je suis curieuse de savoir ce qui marche chez vous !
Conclusion
Faire manger des légumes aux enfants sans drame, c’est tout à fait possible. Avec un peu d’imagination et beaucoup de bienveillance, on peut réconcilier les petits (et les grands). Alors, à vos fourneaux, et bon courage pour vos prochaines étapes à table !